Elie Wiesel chez Oprah Winfrey?

Puisque les stars de la galaxie people, tel récemment M. Lance Armstrong, ont pris l’habitude de se confesser chez Mme Oprah Winfrey, peut-on suggérer à M. Elie Wiesel, prix Nobel et docteur honoris causa de cent universités, de confesser maintenant la vérité?

M. Wiesel prétend qu’il a été déporté à Auschwitz avec son père en juin 1944, alors qu’il était âgé de seize ans, et qu’on lui a tatoué sur l’avant-bras le numéro A-7713, inscription qu’il porte toujours.

Or, de nombreux témoins l’ont vu bras nus, récemment, et ont pu constater que ses avant-bras ne portent aucun tatouage. On peut même le constater sur une vidéo qui circule sur le Net.

Intrigués par cette découverte, des chercheurs ont creusé le sujet et ont constaté avec stupeur que le célèbre rescapé de l’Holocauste est en réalité un imposteur et un escroc. Les prisonniers enregistrés à Auschwitz sous les numéros A-7713 et A-7712 n’étaient nullement Elie Wiesel et son père, mais les juifs hongrois Lazar Wiesel (né en 1913) et son frère aîné Abraham.

Elie Wiesel, le grand faux témoin auteur du roman prétendument autobiographique La Nuit, n’a probablement jamais été déporté à Auschwitz, il ne comprend pas le hongrois et il n’a rien vu de ce qu’il prétend avoir vécu.

On savait depuis longtemps que M. Wiesel n’est qu’un menteur et un affabulateur. A Auschwitz, il n’a jamais entendu parler de chambres à gaz, mais il a vu, de ses yeux vu, des camions de bébés jetés vivants dans des fosses à ciel ouvert, dans lesquelles des cadavres brûlaient.

Or, aucun autre témoin n’a rapporté avoir vu de telles fosses et on a pu démontrer scientifiquement qu’il eût été absolument impossible de faire brûler des cadavres de cette façon à cet endroit.

M. Wiesel prétend se reconnaître sur une photo prise par les Américains lors de la libération du camp de Buchenwald, mais la personne qu’il désigne est à l’évidence un adulte trentenaire ou quadragénaire, et pas un adolescent de dix-sept ans!

C’est un vrai survivant des camps allemands, M. Miklos Grüner, qui a découvert la supercherie, en 1986, alors qu’il avait été invité à Stockholm par un journal qui voulait faire la surprise à Elie Wiesel de lui permettre de rencontrer, après tant d’années, son vieux camarade de captivité. M. Grüner avait fait observer que son ami se prénommait Lazar et non Elie, mais on lui avait rétorqué qu’Elie et Lazar sont deux diminutifs du prénom hébreu Eleazar ou Eliazar.

Pour une surprise, ce fut une surprise! évidemment très désagréable pour l’imposteur Elie Wiesel, qui a refusé une seconde rencontre. M. Grüner a publié depuis lors une brochure, Identité volée, mais il y a trop d’intérêts en jeu, trop de crétins qui ont cru aux fables répandues par l’imposteur, trop d’universités qui se couvriraient de ridicule en admettant avoir décerné un grade de docteur honoris causa à un affabulateur, trop de gogos qui ont acheté une conférence de l’escroc pour 25'000 dollars, trop de bonnes œuvres qui ont contribué à la Fondation destinée à engraisser le faussaire…

Même le Conseil fédéral l’avait invité à faire partie de la célèbre Commission Bergier, mais il avait décliné parce qu’il ne concevait pas faire partie d’une commission qu’il n’aurait pas présidée.

Ses propres amis le supplient de répondre aux méchants antisémites négationnistes révisionnistes qui mettent en doute sa présence à Auschwitz, à Birkenau et à Buchenwald. Mais il n’a rien à répondre.

Il continuera de pleurnicher sur les vingt-huit millions de dollars qu’il s’est fait escroquer par son coreligionnaire Bernard Madoff (dommage bien réel) et sur les malheurs (fictifs) qu’il s’est inventés, dans des camps allemands où il n’est jamais allé.

On continuera, dans les chaumières, à gober les fables de Binjamin Wilkominski (alias Bruno Grosjean/Dussekke), de Mischa Defonseka ou de Bernard Holstein, parce que ces imposteurs sont (ou se disent) juifs et qu’ils ont donc beaucoup souffert.

Claude Paschoud